Les femmes qui s’extasient d’avoir donné la vie sont vraiment de grosses ……, elles étalent leur joie d’avoir des enfants parfait sans avouer le revers de la médaille. C’est que dans les films ou séries que les gosses sont altruistes, bons, obéissants et sans caprices. Ce n’est pas dans la vraie vie que votre enfant viendra vous voir pour vous aider à décharger la voiture. Ou encore attendre comme vous lui avez demandé pour étudier les sortilèges, la tienne c’est cru à Poudlard, elle à prit un bouquin donné par ta mère, et c’est improvisée sorcière de première année en voulant créer son propre sort. Résultat, le hangar est devenu une bulle anti gros mots. Tu es exaspérée, fatiguée, elle n’en fait qu’a sa tête. Tu comprends les malheurs et les coups de sang de ta mère en élevant deux Misha.
- « tu te fou de ma gueule ! combien de fois je t’ai dis de ne pas toucher aux livres ! »
- « tu m’apprends jamais alors faut bien que je le fasse moi-même ! »
- « tu me fais skier ! je t’ai dis que je t’apprendrais quand j’aurais le temps, pourquoi tu ne vas pas demander à ta grand-mère ? »
- « faudrait déjà que tu m’y amène, je ne vais pas me taper 20 bornes en vélo…. »
- « t’es vraiment riante … »
- « ouais mais c’est trop drôle »
- « ta meule Misha, vas dans ta chambre »
La journée avait bien commencée, tu n’avais rien vu venir mais au moment ou tu retrouve un client et commence à examiner son tas de boue qu’il veut réparer, les mots, les insultes étaient transformées en un autre mot particulièrement ressemblant niveaux consonance. Tu ne comprends pas tout de suite, ton client à l’avantage de bien rire. Qui plus est tu ne peux même pas les écrire, c’est comme si ta main t’interdisait de marquer des obscénités sur une feuille. C’est la que tu percute rageusement ce qui ce passe. « MISHA JULIA KAVENDISH » le procès de cette dernière à très vite viré à la lapidation.
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